« Sur la scène, deux pupitres, deux acteurs de la compagnie Oculus, Julien Pillot et Audrey Dero, mais surtout deux grands talents.
Avec des mimiques à la limite du mime, utilisant à bon escient l’expression corporelle, les deux acteurs nous font suivre Martin dans une évocation de situations, de personnages, de souvenirs parfois émouvants mais qui prêtent aussi à rire, s’adaptant parfaitement à toutes ces situations ».
La Nouvelle République, 8 mars 2017

« Avec une mise en scène sobre et nerveuse, les comédiens ont trouvé le rythme exact du parcours du personnage dans l’espace comme dans le temps, du kaléidoscope de ses rencontres fortuites et furtives. Les spectateurs se laissent emporter avec plaisir dans ces pérégrinations désordonnées, grâce aux deux interprètes, excellents de bout en bout, et grâce au récit de l’écrivain, dont les mots font mouche. »,
La Nouvelle République, 22 mai 2015

« Dans un décor épuré, dans une belle et discrète lumière, deux pupitres sont installés. Deux objets qui vont se muer, par la volonté des personnages, en autant d’éléments de situation : pupitres, immeuble, rampe d’escalator, table de café, ordinateur de bureau, etc.
Une histoire truffée de retours en arrière et de petits moments de la vie quotidienne d’un antihéros normal, conduite avec énergie et précision par deux comédiens brillants et complices qui savent alterner récit et mise en situation des personnages et agrémenter leurs prestations de pas de danse bienvenus, soutenus par une belle bande son. »,
La Nouvelle République, 27 janvier 2015

« Je n’ai pas décroché une seule seconde, vous m’avez embarqué comme jamais, c’est frais, c’est vivant, c’est drôle et émouvant, je crois bien que j’ai ri et pleuré en même temps, merci pour cet excellent spectacle. » Jean-Luc, spectateur

« Excellent : mise en scène très inventive et qui a vraiment activé notre imaginaire, diction excellente,
émotions ressentis ++. Bonheur, malheur, joie, parfait – et le mime ! » Maryse M., spectatrice

« Rentrez bien en fiat Corsa et bravo bravo, vous m’avez laissé sans voix. » Michel, spectateur.

« Bonjour, j’ai vraiment adoré votre pièce « rester sage » jeudi soir, encore une fois un grand merci pour ce spectacle VIVANT« , Isabelle, spectatrice

« J’ai adoré votre pièce Rester Sage ! elle était tellement pas comme le théâtre classique ! merci à Audrey et Julien !! j’adore votre façon de voir le théâtre imaginatif et votre façon d’utiliser les pupitres !« , Maéva, lycéenne spectatrice

« On est embarqué dans la vie de Martin, on pleure, on rit avec lui. Bravo. » Nadège M., spectatrice

Voici une lettre que nous avons reçu de l’auteur Arnaud Dudek, après qu’il a assisté à une première lecture :

« J’ai rencontré Julien Pillot par mail, le 21 juin 2013, à 14h14. Dans son message, il y avait (en gros) des compliments-qui-font-rougir sur  »Rester sage », et puis cette phrase incroyable : « J’ai tout de suite eu envie d’amener [ce livre] sur un plateau de théâtre. »

Le 21 juin 2013, à 19h27, c’est un oui de principe que j’ai envoyé à Julien (que j’ai crié, en fait, mais le courriel traduit mal les décibels). Le roman ne m’appartient plus depuis sa sortie, et puis la sincérité qui suintait du message m’incitait à signer un chèque en blanc, pourquoi diable hésiter pendant huit jours ? Nous n’avons pas scellé l’accord dans le sang, mais c’était tout comme. Je lui faisais confiance, il me faisait confiance, et  »Rester sage » aurait une deuxième vie, au théâtre.
[…]
L’Histoire est la même, évidemment. […]

Dans nos  »Rester sage », outre Martin, vous croiserez un pigeon biset, un sac à dos mauve, un jeune admirateur de Raymond Radiguet, des bus et un cadavre. Vous ne trouverez pas d’ours polaires, de septuagénaires nées à Cahors, de magasins de jouets fermés le lundi matin, de vélos d’appartements ni de nourrissons.
Il vous sera possible de commander le plat du jour, soit un risotto à l’encre de seiche. Sachez également qu’il vous sera difficile de boire du jus d’orange.

Et donc, dans leur  »Rester sage », vous trouverez des bouts d’Audrey Dero et de Julien Pillot. Ces comédiens épatants ont compris l’histoire, au sens étymologique : ils l’ont prise avec eux, pour mieux l’amener dans leur univers. C’est leur voix, à présent, qu’ils vous proposent d’écouter. Elles s’ancreront longtemps dans votre esprit, je l’espère, j’en suis persuadé.
Martin a de la chance, au bout du compte : il n’a pas une vie simple, mais il a trouvé de chouettes passeurs de mots.  »

Arnaud Dudek, lettre à la Cie Oculus, mars 2014

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